L'apport du freejump à l'ontologie phénoménologique temporelle du XXIe siècle

Tout d'abord je me dois de présenter rapidement ce qu'est le freejump. Le freejump est une discipline à la frontière entre l'art et le sport, c'est-à-dire que ce n'est ni de l'art, ni du sport, cependant le freejump utilise des fragments de chaque : le fait de photographier le mouvement "en vol" peut être considéré comme de l'art et celui d'essayer d'exécuter au mieux certaines figures peut être rapproché du sport. Le freejump consiste en le fait de réaliser un saut devant un appareil photo.

Freejump de mariage
Les apports du freejump sont nombreux, mais on notera en premier lieu la fonction sociale du freejump. En effet les freejumpers se rendent ridicules ensemble vis-à-vis du monde extérieur et donc améliorent leurs relations à l'intérieur du groupe qu'ils forment, ce qui peut conduire à une meilleure productivité notamment dans le cas de la pratique du freejump dans le monde du travail.
Le freejump peut être réalisé par tout le monde et ne nécessite aucune préparation particulière.

D'autre part, relativement à son moi propre, le freejumper exprime toute son originalité et tout son profond refus des carcans qui le gênent, sa rebellion face à un système auquel il ne peut que difficilement s'identifier, on observe donc ici la deuxième fonction du freejump, à savoir la catharsis, la libération par le jump.

On notera enfin l'importance de la notion d'instantané, principalement dans le coté artistique du jump, qui tend à rendre totalement unique chaque jump, chaque photo de saut.

La recherche du jump le plus esthétique, le plus acrobatique ou le plus insolite constitue alors la quête du saint Graal pour tout freejumper régulier.


En bref, bientôt sur vos écrans freejump.org (sisi!)